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Jeux de hasard : Les aînés et le jeu
De plus en plus de personnes âgées dilapident leurs économies en espérant réaliser le gros gain afin de compenser leur revenu de retraite qui ne cesse de diminuer. Les exploitants de jeux de hasard satisfont les besoins de cette clientèle en lui offrant un service de navette, des billets à gratter dans tous les dépanneurs, des salles de bingo et même des casinos virtuels. Les personnes âgées qui utilisent leurs économies de toute une vie pour jouer pourraient perdre d’importantes sommes d’argent et être déconcertées ou gênées d’admettre leur problème.
Reconnaître le problème de jeu compulsif chez un aîné
Le problème de jeu peut commencer de différentes façons, par exemple, par une perte d’intérêt à des activités normales en compagnie d’amis et de membres de sa famille ou lorsque l’aîné à trop de temps libre et peu de choses à faire. Il pourrait se mettre à jouer pour échapper au sentiment d’oppression que lui causent sa famille ou ses responsabilités quotidiennes. Le jeu pourrait aussi représenter un moyen de combler sa solitude à la suite du décès de son ou de sa partenaire de vie ou son ennui à la retraite.
Quelles que soient les raisons, il est important de déceler des signes de ce problème. Voici les indices habituels :
La gêne, la honte et le refus d’admettre le problème empêchent souvent l’aîné de demander de l’aide. Plutôt que de demander du soutien à l’extérieur, les aînés préfèrent souvent confier leurs préoccupations à leur famille et à leurs amis.
Il est important que les membres de la famille et les amis qui constatent le problème demandent de l’aide pour l’aîné et participent activement au processus de rétablissement. Il existe de nombreux groupes d’entraide qui pourront vous renseigner sur les ressources à ce sujet.
Reconnaître le problème de jeu compulsif chez un aîné
Le problème de jeu peut commencer de différentes façons, par exemple, par une perte d’intérêt à des activités normales en compagnie d’amis et de membres de sa famille ou lorsque l’aîné à trop de temps libre et peu de choses à faire. Il pourrait se mettre à jouer pour échapper au sentiment d’oppression que lui causent sa famille ou ses responsabilités quotidiennes. Le jeu pourrait aussi représenter un moyen de combler sa solitude à la suite du décès de son ou de sa partenaire de vie ou son ennui à la retraite.
Quelles que soient les raisons, il est important de déceler des signes de ce problème. Voici les indices habituels :
- Des changements dans sa communication habituelle avec les membres de sa famille.
- Des absences fréquentes, sans explication.
- Des emprunts d’argent fréquents à des amis et à sa famille.
- Des factures en souffrance ou payées en retard.
- Une modification du comportement.
- Un laisser-aller en ce qui concerne ses finances et sa santé.
- Le refus d’admettre qu’il joue et d’en parler.
- Après avoir commencé à jouer en groupe, il joue maintenant seul.
- 70 pour cent de ces joueurs souffrent de douleur chronique.
- L’aîné joue afin de créer une distance entre son conjoint ou un parent et lui, ceci afin d’affirmer son indépendance et d’éloigner la personne dominante.
- Le jeu représente pour lui une activité sociale à laquelle participe son partenaire ou il s’agit d’un moyen de compenser le nombre limité d’activités sociales.
- Il a en moyenne 7,7 heures de temps libre par jour.
La gêne, la honte et le refus d’admettre le problème empêchent souvent l’aîné de demander de l’aide. Plutôt que de demander du soutien à l’extérieur, les aînés préfèrent souvent confier leurs préoccupations à leur famille et à leurs amis.
Il est important que les membres de la famille et les amis qui constatent le problème demandent de l’aide pour l’aîné et participent activement au processus de rétablissement. Il existe de nombreux groupes d’entraide qui pourront vous renseigner sur les ressources à ce sujet.
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